C'était nous, tome 11
Auteur: Yuuki Obata.
Edition: Soleil.
Publié en: 2008.
Genre: Manga, Shojo
Tome: 16 Tomes.
Tout en supportant difficilement son éloignement avec Nanami, Yano poursuit le lycée et son petit boulot, jusqu'au jour où il découvre la maladie de sa mère. Les finances s'en ressentent et il lui devient de plus en plus difficile de se concentrer. Yano ne dit rien à Nanami pour ne pas l'inquiéter et se voit offrir le soutien de Sengenji. Mais les choses s'accélèrent et l'entraînent loin de Nanami...
On a enfin le fin mot de l’histoire de ce qui s’est passé
durant cette année et surtout le pourquoi du comment Yano s’est éloigné de tout
le monde. Je vais éviter de vous en parler afin de ne pas trop vous spoiler,
mais par contre, je vous mets cet extrait qui résume parfaitement pourquoi
Nana n’a plus eu de ses nouvelles :
« Je l’ai poussée à bout. Je l’ai tuée. Je tire un
trait sur tout mon passé. Tout ce que j’avais, ce qui compte pour moi, tout. Je
laisse tout derrière moi. »
Remis dans son contexte, je vous jure que vous avez les
larmes qui montent. Ce manga est vraiment dramatique par moment et en même
temps, je suis plus que réceptive sur ce manga du coup, je passe des pleurs aux
rires assez régulièrement Mes sentiments font les montagnes russes en permanence. Et
pourtant, cela ne m’empêche pas d’aimer et de vouloir continuer à lire, pour en
savoir plus. Nous revenons d’ailleurs sur notre présent et retrouvons Nana, qui
est devenu amie avec Aki, la fille proche de Yano durant une année. Mais Take
va aussi faire un grand pas. La fin est juste hyper frustrante et donne
vraiment envie de découvrir la suite, pour savoir ce que cette carte de visite
va nous révéler.
En conclusion, je m’étonne toujours par le fait que ce
manga me touche toujours avec beaucoup de facilité. Mais je pense que le fait
d’être attaché aux personnes joue beaucoup sur mes sentiments. Nous avons la
conclusion et le pourquoi du comment sur cette année de séparation. J’ai
vraiment hâte de continuer l’aventure et de voir ce que l’auteur nous réserve,
et je dois vous l’avouer, j’ai l'énorme espoir de revoir Yano.
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